Le miroir
Un soir de début mars, à la nuit tombée, je sors d’un point-relais à quelques rues de la mairie du 11e arrondissement. Dans mes bras, je tiens un miroir péruvien commandé sur Internet. Le paquet n’est pas très lourd, deux kilos, mais il est volumineux, et je n’ai aucun sac ou matériel pour le transporter. …